Lors de la journée de mobilisation contre la loi travail du 17 mars la police, les présidents d’université et le gouvernement ont décidé de répondre par la force à une jeunesse qui cherche à s’organiser et à se faire entendre.
La police est intervenue sur plusieurs campus de manière violente. À Lyon 2, un étudiant a été arrêté, à Strasbourg des lycéen-ne-s et des étudiant-e-s ont été matraqué-e-s (5 bléssés), à Marseille les manifestant-e-s se sont fait chargé-e-s et ont été gazé-e-s, à Tolbiac les CRS et les policiers en civils ont fait preuve d’une violence démesurée (300 CRS pour 200 étudiants) allant même jusqu’à matraquer les passants.
Le gouvernement, la police et les directions d’université collaborent pour faire taire cette mobilisation qui leur fait peur.
Ne nous laissons pas impressionner et continuons à battre le pavé et à lutter.